Sortie club à hendaye du 1er au 3 novembre 2002

La photo du petit groupe qui est parti à Hendaye pour le week-end du 1er novembre 2002.

sortie hendaye 20021101

 

Etaient présents (photo) : Pat, Christine, Jean Albert, Bruno, Jean Paul, Nathou, Marina B., Seidel G., Helene, Cyril, Yves M.

Sortie Club à Marseille du 14 au 17 juin 2001.

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Galerie photo de la sortie.

Etaient présents : Encadrants : - Chris, Pat, Jean Jacques, Yann, Guillaume, Christine, Greg, Olivier B., Aurélie D., Philippe S., Jean Albert, Didier - Plongeurs : - Bruno, Alain, Agnès? Rachel, Pascal, Cyril, André, Jean Christophe, Patricia, Serge C., Audrey M., Gilbert, Anh Hoa, Dominique, Yannick, Jean Paul, Gaëlle, Gaël Cou., Jean Marie P., Yves M., Jerome, Stéphanie - Accompagnants : Monique, Nathou, Béné, Jeanine, Agnès Com.

Sortie Club à Port de la Selva du 24 au 27 juin 1999. On se rappellera des apéros dans les chambres, des courses de brouettes sur la plage, du grand schtroumpf, et surtout de la Mama Sita ! Le plongées? Non, vraiement pas terribles :)

Pour celles et ceux qui veulent y regouter, voici de mémoire la recette de la Mama Sita: Tequila, Gin, Vodka, Rhum (1v, 1v, 1v, 1v) + Pamplemousse, Ananas (2v, 2v) + un peu de sirop de grenadine pour lui donner une belle couleur rouge! Atomique comme boisson. Certaines se rappellent encore d'avoir entendu "Dans les griffes..." toute la soirée. 

isa no 02 groupe isa no 04 le tas isa no 05 apero isa no 06 course

isa no 09 le bar isa no 10 le massage isa2 no 15 apero isa2 no 23 le schtroumpf

Voir les photos de la sortie

Etaient présents : Encadrants : - Chris, Mathias, Olivier M., Didier, Pat, Jean Jacques, Carole (?), Charles, Guillaume, Olivier B., Yann, Jean Albert, Christine, Greg, Philippe S., Aurélie  - Plongeurs : Bruno, André, Isabelle, Serge C., Patrick, Rachel, Alain, Nadège, Agnès, Pascal H., Yves M., Cyril, Jean Christophe, Patricia, Stéphane G.(?), Juliette, Audrey M., Sophie, Sylvie R., Céline, Anne P., Katie McA., Christelle, Emma, Gilles, Joëlle L., Séb, Claire B.

 

Le compte-rendu de JJ

Pour la première fois, l'UCB1 a décidé beaucoup de gens à venir. On peut supposer que c'est lié à l'immense succès de la sortie de l'an passé à l'Estartit. On peut supposer aussi que c'est simplement lié à la maturité du club et de son encadrement. En tout cas, nous étions plus de trente-deux (record précédent), quarante-et-un au départ et quarante-quatre (44 ? je croyais que c'était 45 ?) à la fin aprés l'arrivée de Bruno, puis Yann et Charles.
Ce petit monde était bien organisé, avec juste assez d'encadrants pour le nombre d'encadrés : 14 + 1 encadrants et 15 encadrés, ca ne fera pas trop de travail !

Plongeur Niveau   Plongeur Niveau   Plongeur Niveau
Mathias MF1   Bruno 3   Stéphane 2
Olivier Maillou MF1   Dédé 3   Juliette 1
Didier BEES 1   Isabelle 1 puis 2   Audrey 1
Patrick MF1   Serge 2   Sophie 1
JJ MF1   Patrick 2   Sylvie 1
Christophe MF1   Rachel 2   Céline 1
Carole MF1   Alain 2   Anne 1
Charles BEES 1   Aurélie 2   Katie 1
Yann N4   Nadège 1   Christelle 1
Jean-Albert N4   Agnès 1   Emma 1
Guillaume N4   Pascal 2   Gilles 1
Olivier Baudon N4   Yves 1   Joëlle 2
Christine N4   Cyril 1   Sébastien 0
Greg N4   JC 2   Claire 0
Phiphi N4   Patricia 1      


C'était bien organisé. Par Patrick et Jérôme. Ils ont eu du mal, d'ailleurs. Entre les qui se décident au dernier moment à venir, les qui annulent la vieille, les qui descendent directement, les qui ne savent pas quand ils viennent et les autres, qui dorment et n'écoutent pas ce qu'on leur dit... ils avaient du travail. En plus, à certains on a dit "rendez-vous à six heures" (déjà, c'est très tôt), mais en venant poser leurs affaires au local, ils ont vu: "rendez-vous cinq heures trente". Alors, ensuite, comment fait-on ? Il faut choisir entre les deux indications et si vous ne voulez pas trop prendre de risque, il semble recommandé de s'en tenir à la version la plus contraignante... Voilà pourquoi c'est sur le coup de cinq heures et quelques que les uns et les autres se sont retrouvés devant le local.


Là, il fallait tout faire : répartir les blocs et les détendeurs, vérifier que tout le matos était chargé et embarquer les passagers. Je ne suis pas capable de vous expliquer comment ils font, ces organisateurs, en tout cas, ils ont brillamment réussi ce tour de force. Nous étions tous dans le bus avant d'avoir eu le temps de nous rendre compte que nous étions partis. Tant pis pour ceux auxquels on n'avait pas dit qu'il fallait se munir d'un déjeuner. Tant pis aussi pour ceux qui n'étaient pas au rendez-vous ou qui ne sont pas montés dans le bus. Non, je vous rassure, il n'y en avait pas de ces absents de la dernière heure. Mais Patrick avait besoin d'être sûr, alors il a appris à compter. Pauvre Pat ! Compter des gens dans un bus, c'est pas si simple. Même quand ils ne bougent pas, on se trompe, on s'oublie, on en compte deux fois. Il s'y est repris plusieurs fois avant de supposer que c'était bon, vous savez quoi ? Il y avait le compte !

Sur la route, Patrick d'abord, Greg ensuite, nous ont raconté le programme. Si de bonnes âmes se sentent en mesure de raconter ce qui s'est dit, moi, je n'en ai pas la plus petite idée. Mais quelle idée de vouloir expliquer quelque chose à des gens qui ne sont pas encore totalement réveillés ! Vous connaissez l'autoroute, elle n'est pas trop cahotique, alors, effectivement, nous avons dormi. Tous ? Non, car un petit village résiste encore à l'envahisseur, et Greg et jj, entre autres, sont restés dans les rangs à se présenter aux uns et aux autres, à leur raconter des histoires et à, surtout, les empêcher de dormir !

M'enfin, après de longues, trop longues heures, nous arrivons là-bas. Nous sommes tous tellement fatigués que nous ne comprenons pas ce qui se passe. On nous refuse l'hôtel comme s'était prévu et on nous propose de dormir dans des chambres et des dortoirs (et non pas seulement des chambres de deux ou trois). Nous avons du mal à accepter mais finalement la répartition se fait. Je me mets avec Bruno, qui n'est pas là, c'est plus facile. Pour aller dans les dortoirs, on fait un groupe de filles et un groupe de garcons, comme quoi, la ségrégation frappe toujours ! À l'hôtel on nous installe et nous prenons les clés. Je me retrouve dans une chambre avec trois lits. À l'étage, il n'y a que trois douches (dont une sert de WC) et un WC. Il y a aussi six chambres dont 5 occupées par nos UCBistes. Donc une quinzaine de personnes qui vont vouloir prendre leur douche en même temps (dont une moitié de filles)... Ce n'est pas vraiment optimal. Bon, nous allons plonger néanmoins. Là, c'est sous le cagnard que nous attendons le bateau. Merci pour le soleil, ca nous manquait.

Première plongée


On s'équipe joyeusement sur le quai. Il reste des tonnes de problèmes que chacun doit résoudre au plus vite... Je ne vais quand même pas vous raconter les questions de plombs, de détendeurs, de... Non, la plongée, c'est ce qu'il y a de mieux dans une sortie UCB1. Sauf quand la visi n'y est pas. D'ailleurs, elle n'y est pas. Sauf quand il n'y a pas grand chose à voir, et c'est le cas... À part ça, tout va bien.

C'est vrai, ça, dès la première plongée on a su que les plongées ne seraient pas top. Ça ne s'est pas arrangé par la suite. C'est simple, à peine 10 mois plus tard, et alors que je reviens de Thailande, je ne me souviens de rien, ou presque, des plongées au Port de la Selva. Je vais devoir consulter mes notes pour reprendre ce texte demain.

Et le reste, surtout le reste !


Mais c'est pas ça le plus important. La seule chose vraiment importante, ce que je retiens, moi, c'est les délire. Les uns qui arrosent les autres... Greg est un vrai professionnel de "Je joue tout seul à arroser tout le monde." Je frémis rien qu'à l'idée de ce qu'il derait a Bangkok au cours de la fête de l'eau (où, effectivement les gens s'arrosent les uns les autres, avec de vrais commandos organisés pour cela et du vrai matos: pompes, pistolets grosse capacité, bassines, tonneaux sur pick-up ! Mais je m'égare, revenons à notre mouton, oui, Greg s'est amusé à arroser tout le monde. D'abord, "gentiment" sur le bateau, ensuite avec le seau. Nous en avons tous plus ou moins profité, pas tous avec la même joie sereine. Le problème c'est comment arrêter les hostilités quand on ne veut pas être mouillé? Parce que celui qui a décidé d'arroser tout le monde continue à le faire sans se rendre compte qu'à un moment donné il n'y a plus que lui qui joue. Bref, si je n'avais pas été aussi mesquin, j'aurais sans doute participé aussi et je me serais amusé, mais... Passons.
Il y a aussi un très bon souvenir, c'est la tentative de trouver un endroit où danser. Une jeune femme que je ne nommerai pas ici, après avoir parlé avec nos gentils chefs de bord, m'a poussé à proposer que nous allions danser là où elle pensait les rejoindre. Certes, elle les a rejoint : c'était le club qu'ils lui avaient indiqué! Nous avons donc réussi à déplacer 44 personnes le long d'une route, sans rien trouver qui ressemble de près ou de loin à une boite. Par contre, leur club, ça, oui, on l'a trouvé. Fin de la tentative, il est tard, rentrons. Non, quelques uns ont décidé de danser et ne relacherons pas leurs efforts avant un succès incontournable. Ce sont ceux qui nous conduirons, le lendemain, à la petite boite désormais célèbre qui produit le, non moins célèbre Mama Sita. Mais, ça, il faut que je vous en parle sérieusement.

La boisson, ça peut être n'importe quoi, de toutes façons, très vite, ça n'a plus la moindre importance. Je suppose que la boisson initiale est à base de TGV (mais quelle importance de mettre plusieurs alcools à 40 degrés, ça ne fait pas plus de 40 degrés, alors qu'un bon rhum à 62 ou une vodka à 90, ça, c'est quelque chose, n'est-ce pas (les très anciens se souviendront d'Anna Gawlicka et de cette soirée merveilleuse qui m'a permis, le lendemain, de rencontrer une hélice de hors-bord, mais je m'égare une fois de plus) ? ), mais je ne me souviens plus de la recette. L'important, ce n'est pas le contenu, c'est le flacon, je vous jure. Ça ressemble à une gourde en verre, c'est très beau. Pour boire, il faut porter le flacon à deux mains, le plus loin possible du visage et diriger le jet vers la bouche. On boit comme à la gourde, à grande lapées et le liquide coule sur tous les vêtements qu'on peut avoir. On ne sait pas combien on boit. On boit encore. Comme il fait chaud et que la musique est forte, on reboit pour être sûr. Bref, les éclopés du premier soir nous en font une description tellement enthousiasmante que nous y viendrons le lendemain, pauvre de nous !

Il y a tout le monde, ou presque. Les tournées se suivent et se ressemblent, chacun se force de boire comme il peut et de danser un peu. Bref, une soirée où peu sont restés conscients jusqu'à la fin. Je ne suis pas sûr que chacun se souvienne de l'endroit où il a passé la nuit. Remarquons aussi que certaines (Audrey) se sont fait dérober leur sac à main, mais c'était un peu le bordel ce truc et comme plus personne ne savait où il habitait... Ça gâche un peu la fête ce genre de truc, en tout cas, Audrey n'était pas joyeuse le lendemain matin. D'autres, si, mais elles avaient sans doute eu plus de chance...

Je ne vous ai pas parlé des délires de jeu de plage, genre porter une jeune fille sur son dos et courir comme un cheval, épuisant. Ni du moment, après ces efforts exténuants, où certains (suivez mon regard) ont commencé à arroser et à mettre à l'eau tout le monde. J'ai vu le moment où ça tombait sur moi, je me suis déshabillé et suis allé à l'eau de moi-même, c'est de la triche, mais elle était bonne (quoiqu'un peu froide, elle est meilleure à Phuket).

Bon, je ne vais pas raconter plus de choses, je ne me souviens de rien. Si, quelques discussions personnelles, mais comment les raconter dans un journal mural qui peut, par définition être lu par tous ? Voilà, les plongées je vous ai dit ce que j'en pensais, l'ambiance, c'est promis je ferai des efforts pour être moins sage la prochaine fois, et... Bon on repart à l'Estartit en juin, ça c'est bien.


Merci pour leur participation active à: Olivier Baudon, Olivier Maillou, JJ...
Dernière relecture le 26/7/1999 non, le 17 avril 2000 !

Ce compte-rendu de la sortie a été réalisé par JJ (Source) .

Sortie Club à Estartit du 22 au 25 juin 2000.

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Galerie photo de la sortie.

Etaient présents : Encadrants : - Chris, Pat, Carole T., Charles, Jean Jacques, Yann, Guillaume, Christine, Greg, Didier, Olivier M., Olivier B., Aurélie, Philippe S. - Plongeurs : - Bruno, Nathou, Alain, Agnès, Rachel, Pascal, Cyril, Séverine, Patrick P., Stéphane G., Cécile, Katie McA., Patrick L., André, Jean Christophe, Patricia, Nadège, Isabelle R., Béné, Serge C., Audrey M., Gilles, Anh Hoa, Dominique F., Yannick Accompagnants : Fabienne P., Monique, Joelle L., Maxime, Jeanine, etc...

 

Le compte-rendu de JJ:

 

  • Avant de Partir

    Il faudra bien te couvrir !

    Voilà, ça fait maintenant quelques mois qu'on en parle, ça fait quelques mois qu'on en rêve. Nous allons aller à l'Estartit. Vous, vous qui ne connaissez pas ce site, dites-vous bien que c'est un des plus beaux d'Europe (enfin, il paraît que la plongée sous glace est plus belle en Norvège, mais je vous jure que je n'ai pas encore essayé). Donc, nous en avons longuement rêvé. À tel point que, au lieu de partir à 35, puisqu'il y avait 35 places sur le bateau, nous nous sommes retrouvés à 42 inscrits. Il ne restait plus qu'à trouver un moyen de faire plonger tout ce monde...
    Facile ! Il suffit que chacun au lieu de plonger 6fois, se contente de 5 plongées. Ainsi, c'est parfait. Et nous voilà prêts à partir...
    Ah, oui, vous voulez la liste des plongeurs, ça va pas être facile, c'est Yann qui doit me l'envoyer !

  • Le Départ

    Ils nous ont refait le coup ! Pour arriver là-bas à temps pour la plongée de l'après-midi, le bus doit nous embarquer à 6 heures au local. Mais pour certains c'est le jour de la Fête de la Musique, pour d'autres ce sont de longues discussions familliales... Bref, pour tous, c'est peu, vraiment peu de sommeil.
    Nous voici dans le bus, et on roule. Comme on peut s'en douter, parmi les joyeux inscrits il y a ceux qui viennent direct, ceux qui ont annulé au dernier moment (les lâcheurs me direz-vous, vous avez bien tort, ils en souffrent encore les pauvres bougres d'avoir raté ça !).
    Bon, on a le temps. On se retrouve, on se parle un peu. Faut dire que, dans la catégorie "grands anciens" on ne trouve pas que votre serviteur et d'autres (notamment les trois qui étaient à la sortie l'Estartit'1991, ça nous rajeunit pas) ont beaucoup de choses à se raconter sur l'évolution de la famille, des amis, de la vie qui change et transforme tout... J'ai adoré ce voyage, tranquile, avec, à un moment, Yann qui a commencé à nous demander qui acceptait de ne pas plonger quand. Ça, c'était un peu compliqué, qu'on en juge: à peine avait-il commencé à faire circuler une telle feuille que les noms étaient rayés par les uns ou les autres afin d'obtenir un groupe honorable de gens qui n'allaient pas plonger ensemble. "Moi c'est le matin que je ne plonge pas. -Non, mets-toi avec moi le vendredi après midi. -Mais il y a déjà trop de monde... -OK, raye Yann, mets-le le samedi, il ne fera pas la différence" Je vous passe les détails et vous verrez que cette panique ne sera pas facile à dépasser.
    Yann est aussi passé chercher les chèques et les licences de chacun. Nous avions tous tout ce qu'il fallait. Une seule exception à la règle mais je ne vous dis pas de qui il s'agissait et qui avait oublié sa licence, elle m'en voudrait trop, telle que je la connais, elle serait capable de grandir pour se venger...
    Ailleurs, sur l'autoroute un camion décide de doubler quand nous sommes à son niveau, mais Alain, notre conducteur, réussit à nous sauver in extremis, merci !
    Ailleurs nous faisons la pause (c'est le conducteur qui n'a pas le droit de continuer toute la journée sans faire la pause, alors, on mange !). L'UCB1 à son meilleur niveau, ce sont des mets partagés et offerts, je vous garantis que j'ai tout essayé (et les universitaires ont un bon entrainement pour les bouffes, n'est-ce pas Bruno?) mais que je n'ai pas réussi à tout finir.
    Bref, qui ne dort pas doit dîner.

  • Sur place

    Je ne peux pas vous expliquer comment nous avons fait pour tenir jusqu'au bout, mais c'était un peu long quand même. Heureusement, tout d'un coup la frontière est passée et nous voyons arriver le plage et l'hôtel devant nous. Déchargement. Toujours cet endroit merveilleux où sont entreposées les affaires, avec la penderie-rince-et-sèche-combi, et nous voici à nous repartir les chambres. Beaucoup de couples en chambres mixtes, quelques chambres non-mixtes de trois et une chambre mixte de quatre où nous cohabiterons, Agnès, Nadège, Yann et moi-même. La chambre est grande, cinq lits, tout en haut (7ième étage) et chaude. Mais nous voici déjà au restau pour le repas de midi et, c'est pas mal, je vous assure : buffet pour tous les plats, entrée, plat chaud et dessert. Bon, vraiment très bon. Il ne reste plus qu'à aller à la piscine avant de partir plonger cet après-midi.
    Il fait chaud, tout va bien, personne n'est complètement épuisé, n'est-ce pas ? Alors on s'amuse un peu et nous voilà partis pour notre première plongée. Comme les rumeurs sont allées bon train, je crois encore que nous allons plonger sur la Réserve alors que j'ai déjà presque le mal de mer (c'est bien la preuve que nous plongeons le long de la côte). Je ne pourrai pas vous raconter grand-chose sur cette plongée, j'étais avec PP et Gil, ça, c'est presque sûr, j'ai eu frois, ça c'est sûr, je suis resté émerveillé devant ma première langouste de l'année, je m'en souviens... et à part ça ?

    Et les autres ? Peuvent-ils me raconter leur plongée, eux, qui, peut-être, s'en souviennent ?
    Le soir.
    Nous sommes maintenant en pleine forme, je ne vous dis que ça. Pourtant après un repas sympatique (que nous avions attendu en buvant force sangria, hips !), nous voici déjà autour d'un nouveau verre sur le bord de la piscine. Certains veulent aller boire un verre en ville, je n'ai pas la force. Coup de chance, ce sont Agnès et Nadège qui restent avec moi sur place. Nous parlons tard, avec Alain, puis remontons. La porte restera ouverte cette nuit, pour que Yann puisse rentrer. Il ne reveillera aucun de nous trois. Mais comment fait-on pour voir disparaître toute trace d'insomnie en sortie plongée? Je me suis souvent posé la question et la seule réponse à laquelle j'arrive est: "es oun miraclé".

    Il paraît que, pendant ce temps-là, les autres avaient retrouvé une petite place et un petit bar-dansant "La Salsa" où l'ambiance est assez bonne, les boissons aussi et la piste chaude. C'est promis, demain, je les accompagne !

  • Vendredi

    Le réveil sonne tôt. Nous avons dormi plus de sept heures. Nous devrions être heureux et en pleine forme, mais non, nous sommes encore un peu vaseux. Un petit déjeuner va nous faire du bien, mais c'est surtout se retrouver la tête dans l'eau qui va nous faire du bien. Nous montons dans le bateau. Je suis avec Serge et Isabelle. Isabelle, ça fait quelques temps qu'elle n'a pas plongé, elle stresse un peu. Allez, je n'y résiste pas et je vous raconte cette plongée.

    Tasco Petite
    Nous sommes juste à côté du rocher. Nous nous mettons à l'eau l'un après l'autre. Elle me paraît froide encore. Serge commence à descendre tout de suite, mais il m'attend. Isa a du mal à couler, elle doit sans doute gonfler un peu ses poumons, je connais bien ce reflexe de peur. Elle tente une fois, deux fois, d'équilibrer. Serge va nous attendre un peu, je remonte. Se moucher, oui, ça aide. Une fois, deux fois. Elle descend un peu, reste bloquée à 5 mètres. Remonte un peu, l'oreille droite passe mal. Ça prend du temps mais tout à coup nous voici à six mètres. Nous ne sommes pas seuls dans l'univers, oui, si vous suivez bien vous vous souvenez de la présence de Serge, d'accord, mais, et le mérou alors, qu'en faites-vous ? Car devant nous, cette belle bête fait tout pour être admirée. Nous admirons.
    Nos compagnons humains tentent le plus souvent de toucher nos compagnons écailleux, dans ce cas ces derniers s'écartent. Quant à nous, nous sommes calmes et heureux. Je ne suis d'ailleurs pas toujours là à regarder les mérous, le corail, c'est beau aussi, n'est-ce pas ? Et bien, non, le mérou vient devant nous et nous cache les beaux polypes blancs.
    Si je vous dis "J'ai vu des sars, des corbs, des daurades royales, des chapons (oh le beau chapon que voilà !), des poulpes énormes, vous me croyez, certes, mais si je vous avais dit que je n'avais pas vu assez de mérous, vous ne me croyriez pas. Et vous auriez raison, ça fourmillait là-dessous !
    Je suis sorti heureux. Serge ne manifestait pas beaucoup son émoi, mais ce n'est pas vraiment son style... Par contre, Isabelle était un peu génée par son oreille, qui, tout du long, crachotait au lieu de passer simplement. Du coup elle ne replongera plus au cours du séjour... abonnée au "pas de chance" Isa, l'Estartit, ça ne lui convient pas (souvenez-vous, il y a deux ans, c'est elle, déjà qui avait plongé dans cette jolie piscine à haut fond et c'était brisé le nez...). Désolé, Isa, vraiment, je ne vois pas ce qu'on pouvait faire de plus...

    Ensuite, cette plongée superbe étant finie, nous revenons à l'hôtel. L'ambiance est bonne, il fait chaud et nous nous précipitons à la piscine. Là, des jeux sont organisés. Mais ils ne nous suffisent plus. Il faut trouver autre chose. La Pyramide ! Certains iront voir de vraies pyramides cet été mais tous les autres veulent participer à une pyramide de piscine. Le principe est simple, quelques gars solides forment la base. Ils s'accrochent bien les uns aux autres (pas de main sur les épaules, merci!). Ensuite de charmantes jeunes filles doivent monter sur ces épaules. Il y a plusieurs façons de grimper, mais la plus fréquente (je m'agrippe à ce que je peux et j'escalade) est aussi la plus douloureuse... pour la base! Bref, une fois que ces jeunes merveilles sont à l'étage, il faut stabiliser l'ensemble avant que d'autres jeunes filles (les plus légères, s'il vous plaît) escaladent les deux étages. Ensuite, pendant la grosse seconde qui se passe avec trois étages complets (6-4-1) il faut que la bse ne hurle pas de douleur, c'est un très beau mouvement de sacrifice humain, Total Western et tout et tout. Et plouf tout retombe. La base ne bouge pas et espère que personne ne va lui tomber sur la tronche... Miracle, cette fois-ci il n'y a aucun blessé!

    Vous en conviendrez, après ça, nous sommes exténués. D'autant plus que la plus petite du groupe (sans doute la plus légère) de peur de se faire mal, n'a pas voulu être en haut de cette pyramide. Tant pis pour nos épaules:-) Néanmoins, il est temps de boire une sangria puis de passer à table. Ce soir, c'est la Saint-Jean, il y a feu d'artifice et faut pas rater ça.

     

  • Vendredi Soir

    Ça commence fort. Qu'on en juge : à peine le repas fini, on part tous en vrac en direction de la plage. Là, au premier coin "tranquile" on s'installe tous et... les cubitenaires sortent. Chacun son verre et... beurk, la "sangria" est infâme, je vous jure, vraiment infâme. Ne me demandez pas qui, je ne vais pas cafter, mais il y a des gens qui planque le cubi et annoncent à voix haute "Il n'y en a plus!" C'est faux. Bon, on parle de... mais de quoi, au fait ? On regarde le feu d'artifice, c'est la Saint-Jean. C'est pas prodigieux. On se demande toujours pourquoi ils font autant de bruit en jouant à la guerre. Je préférerais les lumières sans le son.
    Ensuite, on va regarder le magnifique spectacle son et lumière que le monde entier nous envie. Un petit logiciel, un système de projection, quelques acteurs qui bougent, comme une danse molle... et des percus. Voilà, un superbe remake du spectacle de Jean-Michel Jard (:-) vous avez toutes les raisons de regretter votre absence à cet instant magique et inoubliable entre tous !

    Mais la soirée ne fait que commencer !
    Ensuite, Nadège et Katie vont chercher à boire, on les attend, on les attend. Nous ne les attendons pas tous et tout le monde se casse. Seuls trois fidèles (Agnès et moi à Nadège, Yann à Katie) restent là, à les attendre. Longtemps, longtemps. Nous finissons par tenter de les retrouver. Angès et moi faisons le tour de la buvette la plus proche, elle a un peu envie de danser mais surtout envie de retrouver son amie et nous revenons dépités. Les deux autres sont arrivées pendant ce temps. Je bois mon verre de soda, je suis bien le seul, dans leur état déjà avancé, certains et certaines continuent de consommer de l'alcool.

    Allons retrouver les autres. Ils sont à la Samba, comme hier et comme demain. Là, les gens dansent. Plus ou moins. Le principe est très simple: quand les gens ne dansent plus assez, un "entraîneur" vient et danse. Alors tout le monde se met à suivre ses mouvements façon Macarena ou assimilée. Ça me rend fou ! Voir des gens, des êtres humains, se mettre en ligne et suivre tous les mêmes mouvements, aïe! Non, finalement, ce n'est pas le mouton que ça m'évoque, plutôt le militaire. Bien en rang, dans l'ordre et qui fait toujours ce qu'on lui dit... Bref, la musique est quand même bonne et nous nous amusons bien. Je danse avec Rachel en faisant bien attention à ne pas la bousculer, je bois aussi, je ne m'écroule pas et c'est vraiment très étonnant vu tout ce que je bois au cours de la soirée. Mais les autres ne s'écroulent pas plus, sauf Katie qui renverse plusieurs fois son verre sur les gens présents. Et on se marre et on rit et c'est beau la vie.
    C'est pas la mamacita, mais ils font aussi de petits coktails tout à fait sympa dans ce troquet.
    Vous croyez que la soirée va se terminer comme ça ? Vous vous trompez lourdement les gars. Nous allons, vers deux ou trois heures du matin, prendre un bain de minuit. Combien sommes-nous encore ? Dix peut-être? Nous arrivons à la plage, qui est assez libre. Nous nous deshabillons, personne n'ayant porté de maillot, il n'y en aura pas, ni de serviette, nous resterons tous mouillés. Brrr elle est froide! Il faut du temps avant de supporter ça. On joue un peu à se mettre à l'eau (certains ont hésité un peu, mais quand on leur envoie de l'eau glacée sur le corps, ils cherchent vite une solution!) et, nous y voilà. Jeux d'eau, puis, la pyramide. Oui, oui, encore, la pyramide. La base se met en place, puis elle attend le premier étage. Seule Gaëlle accepte de participer. Elle monte (enfin, moi, je dis ça, mais j'ai enlevé mes lunettes alors c'est juste ce qu'on m'a dit). Elle ruisselle au-dessus de ceux qui la portent et... apparamment se soulage sur leurs épaules. Bref, comme elle est la seule à vouloir monter, comme nous sommes tous ivres, nous ne tenons pas longtemps et décidons de rejoindre la terre ferme. Il reste le petit problème de l'absence de serviette. On ne peut pas se rhabiller en étant mouillés comme ça, mais on ne peut pas non plus rentrer à l'hôtel nus comme des vers. Les garçons rient de leur état, disons, réduit et chacun fait ce qu'il peut pour ne pas prendre froid. Du sable plein les vêtements et la peau, nous rentrons enfin. Seuls Katie (et Yann qui est "wrapped around her") restent, alongés sur le sable. Avec beaucoup de pudeur nous les laissons.

    Je ne vous raconte pas la suite, si, un peu ? Yann a fini par réussir à ramener Katie à l'hôtel. Agnès et Nadège m'ont empêché de dormir pendant pas mal de temps ("Tu peux pas fermer les rideaux ?" devient assez vite "Ferme ce rideau !" et là, vous me connaissez, je les ouvre !). Avec tout ça, on ne dort toujours pas et quand Yann revient, il est tout surpris de nous trouver éveillés. Agnès et Nad`ge, ne s'étant pas douchées mettent du sable partout, en particulier dans leur lit, ça gratte. Nous rions comme des fous et... voilà le samedi qui s'approche à pas de géant.

     

  • Samedi

    Première Plongée

    Voyons voir, qu'est-ce qui se passe le samedi? Je ne sais plus trop, maintenant. Disons qu'on va aller plonger et que ça, c'est sûr. Nous plongeons hors de la réserve, pour changer. Plus précisément au bord de cette petite île où on trouve une grotte. Il ne fait pas beau, ça bouge même franchement. J'ai de la chance puisque je plonge avec Nadège et Agnès (N2). Nous descendons à l'abri derrière l'île. La grotte est toujours là, les plongeuses sont calmes. Il n'y a pas grand chose à voir à part des spiros, des alevins des antias... remarque c'est pas si mal. À un moment, Didier me montre un bord de rocher que je viens de regarder, je me demande un instant ce qu'il peut y avoir de nouveau. Une boîte de coca! Bravo, voilà qui donne un éclairage nouveau à la mer qui nous entoure. Nous longeons la grotte vers la droite, je ne m'y retrouve pas bien, le rocher repart à gauche, je vous jure que je ne sais plus où je suis. On ressort... non, vraiment, là, nous sommes en pleine tempête, ça monte, ça tape, il n'est pas question de continuer comme ça et Nadège me demande que nous continuions au fond. Proposition acceptée, mais que lui refuserais-je? Par contre Agnès n'arrive plus à descendre, je vous le disais c'est vraiment la fille la plus légère du groupe et je suis obligé de l'aider à descendre. Nous revenons au bateau où ça va beaucoup mieux (c'est vrai, je n'ai même pas le mal de mer!).

    Deuxième Plongée

    Là, là, les gars, alors, là, ça c'est de la plongée. Nous n'avons rien fait. Quelques mètres carrés, en tout cas moins de trente mètres entre le bateau et le point le plus éloigné de la plongée (l'autre côté du rocher). Entre les deux, nous avons avancé très lentement. Bien sûr, il y a les mérous. Pour sûr, on trouve aussi des pouples. Je l'avais promis à Agnès, je lui montre sa première murenne. Ne le dîtes à personne, sa main a même touché le corps si doux de cette belle bête (oui, la murenne reste l'une des choses les plus agréables à caresser, juste après...). Vers la fin nous retrouvons Christine et sa palanquée. Elle se dirige exactement dans la direction que je mápprétais à suivre pour retourner au bateau. Je la suis, me demandant par quel hasard elle va vers là, elle qui se plante plus souvent que moi... et pourtant nous arrivons ensemble sous notre beau bateau, près de l'ascenseur. Bref, cette plongée, c'est la plus belle du séjour. Nous sommes tranquiles, nous sommes heureux, que demander de mieux?

    Après ça, je sais pas pour les autres, mais moi, je suis vraiment épuisé. Il faudrait dormir un peu. D'ailleurs je vais directement me coucher non loin de la piscine sur un des lits pliants. Je pose mes lunettes au pied du lit et m'endors massivement. Hélas, je suis réveillé tout d'un coup: on me soulève et Pat donne un coup de pied dans mes lunettes. Je l'injurie vertement et tout le mouvement est stoppé. Quel dommage, j'aurais bien aimé aller à l'eau moi. Non, non, arrêtez, c'était juste pour rire !

    L'autre à avoir un petit problème, c'est Agnès. Elle a mis sa belle robe noire, plutôt courte, que c'est un véritable enchantement. Nous ne profitons pas mongtemps de la vue, à peine est-elle près de la piscine qu'elle est dans la piscine. Elle en ressort tout mouillée et se précipite pour se changer, quel dommage!

     

  • Samedi Soir

    Le soir, il ne va rien se passer j'espère. Oui, j'espère car je suis vraiment épuisé. Mais... avec l'UCB1, le croyriez-vous que vous auriez bien tort.

    Après le repas, devinez où nous sommes allés? Mais oui, c'était encore à la Samba. Vous commencez à connaître maintenant, je ne vous décris plus l'ambiance, avec l'entraîneur qui fait danser tout le monde en file façon convoi militaire, la musique trop forte et l'alcool qui dégouline. Mais nous avons aussi essayé de nous installer à la terrasse et de boire un verre calmement. Ça, c'est moins simple, car la plupart des chaises libres apparetenaient à d'autres bars attenants. Bon, malgré tout, nous avons bu et parlé. Là, je vous demande de l'aide parce que je ne me souviens de rien. Nous sommes rentrés assez tôt, c'est-à-dire avant minuit et avons espéré le retour de Yann. Entretemps un tout petit groupe (ils étaient sans doute trois) ont essayé en vain d'amener tout le monde à un bain de minuit. Ils étaient encore trois quand nous les avons vus, de la fenêtre, arriver à la plage. Exitation de la jeunesse, sans doute, Agnès a tenu à les appeler, sachant fort bien qu'ensuite ils allaient revenir pour la chercher (et retourner les lits tant qu'ils y étaient).

     

  • Dimanche

     

  • Retour

     

  • Annecdote

     

    UNE PETITE HISTOIRE A SE RACONTER AUTOUR D'UN VERRE:

    Au cours d'une plongée à Estartit, une grosse, grosse, grosse épine d'oursin, curieuse de goûter aux joies terrestres, s'est cachée dans l'auriculaire droit d'Aurélie.

    Don't panique!!! un plongeur s'improvise chirurgien et ....extrait ledit objet.

    MAIS ( il y a toujours un amis quelque part dans une histoire) que neni, que neni, notre pseudo-médecin a la vu qui baisse et il en reste un tout p'tit, p'tit, p'tit, morceau dans le riquiqui d'Aurélie.

    RESULTAT : Un mois après, Aurélie est sous antibiotiques et son riquiqui a été incisé à l'hôpital !!!

    MORALES DE CETTE PETITE HISTOIRE :

     

    1. * Ne négligez pas vos petits doigts, ils peuvent vous jouez de sales tours!!!!
    2. * Non sérieux, faîtes attention à ce que vous tripotez sous l'eau, cela peut vous évitez des désagréements...parole de p'tit doigt!!!
    3. * Ne confiez pas votre riquiqui (ou autre...) à un branquignol.

     

  • La liste des présents (par Yann)

     

    1. Encadrants
      Didier, Philippe, Pat, Greg, Aurélie, Christophe, Guillaume, Olivier B et Olivier M, Christine, Carole, Charles, JJ et Yann.
    2. N2
      Bruno, Nathou, DD, Alain, JC, Patricia, Agnès, Nadège, Isabelle, Béné, Serge, Rachel, Pascal et Cyril.
    3. N1
      Séverine, Audrey, Gil, Stéphane, Cécile, Anh Hoa, Katie, Dominique, Patrick Laigle et Yannick

       

    Ça reste sympa, ces groupe où il y a plus d'encadrants de gens à encadrer, si tout va bien, je reviens l'an prochain. Mais j'ai juste une contrainte, il faudrait éviter le 21 juin, j'aimerais bien, ce jour-là, être en Namibie ou à Madagascar pour voir une éclipse depuis le désert (à Mada c'est depuis les hauts plateaux désertiques et c'est pendant la saison sèche, normalement on ne devrait pas être trop gênés par les nuages...).

    Bon, alors, on y retourne ?

    Ce compte-rendu de la sortie a été réalisé par JJ (Source) .

  • Sortie club à Estartit du 25 au 28 juin 1998.

    Souvenez-vous... La chanson pour Yann & Pat:

     

    Vive Patrick et Yann

    (Sur l'air des Copains d'abord)

    Non ce n'était pas un bateau
    De culs de jatte ou de totos
    Mais une véritable épave
    Avec le Rei del Mar
    On a plongé en pères peinards
    Tant qu'il restait au moins un bar
    On leur a fait tellement plaisir
    A Patrick et Yann
    On est toujours sorti très tôt
    Jamais été au fond de l'eau
    Quarante mètres c'était le maximum
    A dix mètres près
    Et quand on est allé au bar
    On est jamais rentré trop tard
    On était carrément bourrés
    Comme Patrick et Yann
    Ils ont préparés la sortie
    On a tout fait pour être gentils
    Avec des tarés comme nous
    C'était pas facile
    Et pourtant ils ont réussi
    A nous faire de belles plongées
    Et même à tous nous ramener
    Vive Patrick et Yann